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La palme revient sans surprise à la ville de Paris

La palme revient sans surprise à la ville de Paris où les praticiens facturent en moyenne leurs prestations 970 € par semestre. Une liberté tarifaire largement mise à profit Un montant à multiplier par le nombre de semestres de traitement (comptez 4 à 6 semestres en moyenne) et… par le nombre d’enfants. Pas étonnant qu’avec de tels tarifs, les thermoformeuse dentaire unité dentaire mobile lampe à photopolymériser  orthodontistes comptent parmi les professionnels de santé les mieux payés loin, par exemple, devant les chirurgiens. Le niveau de stress et de responsabilité de ces derniers est pourtant beaucoup plus élevés.

 

Selon la revue Capital, qui, seconde salve, publie ce mois-ci une enquête sur les dérives de l’orthodontie, « la moitié des praticiens touchent plus de 400 000 euros par an d’honoraires, deux fois plus que les omnipraticiens ! Les 10% les mieux payés empochent même chaque année plus de 1,1 million d’euros. Une fois déduits les 60% de charge (du cabinet), il leur reste plus de 36 000 euros à la fin du mois, près de 1600 euros par jour travaillé ! » Autre point soulevé par le mensuel, preuves à l’appui, l’absence totale de contrôles exercés par l’Assurance maladie. Explications : au début de chaque semestre les assurés qui suivent un traitement d’orthodontie sont tenus d’envoyer une demande d’accord préalable à l’Assurance maladie. Une condition sine qua non : à défaut de la respecter, le semestre n’est pas remboursé. 

 

Les méfaits de l’auto-régulation Cette absence de contrôles est regrettable : dans une étude menée par ses services et publiée en 2004, l’Assurance maladie a ainsi évalué que dans près d’un cas sur trois, la qualité des soins n’était pas au rendez-vous.

 



16/03/2017
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